Ольга Тогоева - Еретичка, ставшая святой. Две жизни Жанны д’Арк

Ibid. T. 3. P. 1149.

«Mais le miracle eust esté plus grand, si Henry V…eust peu transmettre sa conqueste à sa postérité, laissant par sa mort pour successeur de ses Estats, un enfant aagé seulement de seize mois» (Ibid. P 1155).

Arnould J.-C. La crise du mythe johannique entre 1570 et 1580 (E. Pasquier, F. de Belleforest, A. Thevet et quelques autres) // Images de Jeanne d'Arc. P 146.

«Sed a coelo petere victoriam discerent, eamque nec sibi nec suae fortunae, sed soli numinis benignitati ascriberent» (Meyere J. de. Op. cit. F. 272v).

«Quae cum féliciter successissent fortuna earn in medio cursu deferente, capta ad Compendium oppidum, atque igni cremata est» (Masson P. Op. cit. P. 507).

«Fortuna, verum est, semper audaces iuvant. / Timidos repellit; qui timet vinci potest» (Nicolai Vernulaei Ioanne d'Arcia. P. 365).

«Mais quel obstacle pouvoit retarder sa fortune, puis que le Ciel la vouloit establir avec de si grands prodiges» (Ceriziers R. de. Op. cit. P. 91).

Dubreton A. Op. cit. P. 4–5, 288–289, 310, 319–320.

Vulson, sieur de la Colombière. Op. cit. P. 83;

Mezeray Е. Е. de. Op. cit. P. 613–614.

«Il y avoit au courage de la Pucelle une certaine confiance, appuyee plustost sur quelque force surnaturelle, que sur quelques raisons humaines» (Dubreton A. Op. cit. P. 310).

См. также:

Mezeray F. E. de. Op. cit. P. 614;

Le Moyne P. Op. cit. P. 304.

«Elle ouyt une voix qui luy commanda daller trouver le Roy…Elle luy déclara de plus tout ce qu’elle avoit à faire pendant trois ans de vie, qui luy restoient» (Ceriziers R. de. Op. cit. P. 54).

«Jusques au dernier période de sa vie, ce furent miracles très exprès de Dieu» (Pasquier E. A Monsieur Du Lys, Conseiller et Advocat general du Roy en la Cour des Aydes // Pasquier E. Lettres familières / Publiées et annotées par D. Thickett. Genève, 1974. P. 374).

Ceriziers R. de. Op. cit. Р. 91;

Le Moyne R. Op. cit. P. 304.

Подробнее об этом см.: Глава 1. § 6; Глава 3. § 4.

Так, к примеру, поступал Ф. де Бельфоре, описывая прибытие Жанны со спутниками в Шинон: «Les deux Gentils-hommes fait entendre au Roy la cause de leur venue, et tout ce quils sçavoient de la Pucelle, la sagesse, honnesteté, saincteté, et bon propos d’icelle» (Belieforest F. de. Grandes annales. F. 1080).

Хроника основывалась на устных воспоминаниях сестер ордена, последняя из которых умерла в 1563 г.: Broomhalï Р. Women and Religion in 16th-century France. N.Y.-L, 2006. P. 10.

Подробнее о самом ордене и «Хронике Анонциады» см.:

Drèze J.-F. Raison d’Etat, raison de Dieu: politique et mystique chez Jeanne de France. P., 1991;

Broomhalï Р. Op. cit.

B XVII в. епископский суд в Бурже на основе рассказа сестры Гуйар составил перечень чудес, сотворенных святой. Латинские копии хроники были использованы в 1742 г. при беатификации Жанны Французской: Ibid. Р. 54, 155.

«La benoiste Vierge Marie sestoit apparue a elle et luy avoit commendé de venir par devers le roy et l’advenir daucunes choses» (Guyard Р. La Chronique de l’Annonciade / Ed. par J.-F. Bonnefoy. P., 1937. P. 55).

Для Франции XVI в. devotio moderna mariale было особенно характерно для женской религиозности. Мария при этом рассматривалась как комплексная модель для подражания: как вечная девственница, мать и защитница.

В подобной трактовке ее образа, безусловно, чувствовалось наследие XV в.: Delaruelle Е. La vie religieuse dans les pays de langue française à la fin du XVe siècle // Delaruelle E. La piété polulaire. P. 437–464.

Новым для XVI в. фактором стало особое внимание к мистицизму: Broomhall Р. Op. cit. P 53–54, 71–73.

«La dite Jeanne fust mise entre les mains des docteurs et autres gens, et par eux interrogée tant sur la vie de Nostre Seigneur, que sur autres aucuns points de nostre foy, esquels elle respondit non comme une simple fille, mais comme le plus grand docteur quon eut sceu trouver» (Guyard E Op. cit. Р. 56).

«Elle le choisist fentre tous les autres, et apres le avoir salué de par Dieu et la benoiste Vierge Marie, le requist humblement de parler a luy en secret» (Ibid.).

«La dite Pucelle fist de grandes vaillences et eust en bataille de grandes victoires es villes d'Orléans, de Paris et autres lieux, lesquelles nous laissons a cause de briefveté a desclarer, sinon que cèstoit chose divine qui faisoit en elle ce que les hommes ne pouvoint faire» (Ibid. P 57).

«Et en sortant de lèglise ou plusieurs gens sèstoient assemblés pour la voir, leur dit: «Messieurs et mes amis, je vous signifie que l’on ma vendue et trahye, et que de brief, on me faira mourir» (Ibid. P. 58).

Broomhall Р. Op. cit. P. 47–54.

Подробнее см.: Ibid. Р. 52–53.

Guyard F. Op. cit. P. 59.

Tillet J. de. Op. cit. P. 126.

По мнению Бельфоре, указание на святость Жанны содержалось уже в прошении о пересмотре дела, поданном семьей д’Арк: «Vint à Paris, et présenta les Bulles de sa saincteté à lean Iuvenee des Ursins» (Belleforest F. de. Grandes annales. F. 1174).

«Се iugement contenta fort tous les. bons suiets du Roy, marris du faux bruit semé par les Anglois contre sa Majesté comme si elle su fut aydée de charmes et arts non loisibles pour recouurir son Royaume» (Ibid. F. 1179v). Этот пассаж слово в слово повторял затем Л. Триппо: Trippault L Op. cit. P. 31.

«Et quant aux sortileges, il estait ennemy capital des sorciers, et ne vouloit aucunement approcher deux» (Ibid. P. 33).

Belleforest F. de. L’histoire des neuf roys. P. 310;

Dutillet J. Recueilles roys de France // РНБ. Fr. F. v. IV. 9, f. 144v.

Masson Р Op. cit. Р. 507;

Meyere J. de. Op. cit. Р. 277.

Hordal J. Op. cit. P. 162;

Mezeray F. E. de. Op. cit. P. 618;

Le Moyne P. Op. cit. P. 309.

Opmeer P van. Op. cit. P. 411;

Dubreton A. Op. cit. P. 316;

Ceriziers R. de. Op. cit. P. 73–74;

Vulson, sieur de la Colombière. Op. cit. P. 92.

«Ie vous ay desia insinué surquoy l’accusation de nostre Sainte estoit fondée…Estivet commença par la Magie, asseurant que cette fille lavoit pratiquée dés son enfance» (Ceriziers R. de. Op. cit. P. 114).

Soman A. Les procès de sorcellerie au Parlement de Paris; Muchembled R. Op. cit. P. 45, 66–67.

Подро6нее см.: Глава 2. § 2.2.

Постановления, касающиеся заклинаний, идолопоклонничества, почитания святых и их реликвий, были приняты на 25 сессии собора, проходившей 3–4 декабря 1563 г. Их полный текст см.: Concilium Tridentinum // Consiliorum oecomenicorum décréta / Curantibus J. Alberigo, J. A. Dossetti, P.-P. Joannou, C. Leonardi, P. Prodi. Bologna, 1973. P. 774–799.

Подробнее о судьбе данных постановлений во Франции см.: Talion A. La France et le concile de Trente (1518–1563). Rome, 1997. P. 687–724.

Muchembled R. Op. cit. P. 37;

Soman A. La justice criminelle vitrine de la monarchie française // BEC. 1995. T. 153. P. 291–304.

Подробнее см.:

Houdard Р. Op. cit. P. 57–103;

Тогоева О. И. Узнать врага в лицо.

Isaac М.-Т «De la démonomanie des sorciers»: histoire d’un livre à travers ses éditions // Actes du colloque Jean Bodin (24–27 mai 1984) / Textes réunis par G. Cesbron. Angers, 1985. P. 377–391.

Mesnard P. «De la démonomanie» de Jean Bodin // L’Opéra et il pensiero di Giovanni Pico della Mirandola nelle storie dell'Umanesimo. Firenze, 1965. T. 2. P. 334–335.

См., к примеру: Bodin J. De la démonomanie des sorciers. P., 1587 (reprint: 1979). P. 197b.

Ibid. P. 53a–53b.

Подробнее о взглядах натурфилософов на проблему колдовства см.: Levack В. Р. The Decline and End of Witchcraft Prosecutions // Witchcraft and Magic in Europe: The Eighteenth and Nineteenth Centuries / Ed. by B. Ankarloo and Р. Clark. Philadelphia, 1999. P. 34–40.

«Mesurer les choses naturelles aux choses surnaturelles et les actions des animaux aux actions des esprits et Démons» (Bodin J. Op. cit. P. 112b).

«Qui pensent tout sçavoir des secrets de nature et qui ne voient goutte aux secrets de Dieu» (Ibid. P. 118b).

Wier J. Histoires, disputes et discours des illusions et impostures des diables. P., 1569.

Подробнее о концепции И. Вейера см.:

Houdard Р. Op. cit. P. 61–63;

Mandrou R. Magistrats et sorciers en France au XVIIe siècle. P., 1980. P. 126–133.

«Il ne faut pas sopiniastrer contre la vérité, quand on en voit les effects et qu’on ne sçait pas la cause» (Bodin J. Op. cit., préface).

Ibid. P. 8a.

Ibid. P. 60b.

Ibid. P. 11b.

B этих своих рассуждениях Боден следовал за средневековой традицией, берущей начало в трудах Фомы Аквинского. См.: Глава 2. § 2.1.